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- Culture,
Atelier de lecture à voix haute
La voix des mots
Avec Frédérique BRUYAS - Cie Taim'
Vous pensiez que la littérature n’avait plus de secrets pour vous ? C’était oublier combien la lecture à voix haute peut donner vie à une pensée...
Munissez-vous de votre voix et venez lire la musique des mots, laissez votre voix-instrument, au service de l’écriture, révéler ce qui fait la chair d’une pensée littéraire. Redécouvrez, écoutez, ressentez cette matière littéraire et faites-la parler, chanter... Venez explorer des extraits d’?uvres littéraires d’auteurs fran?ais et étrangers, classiques et contemporains, romanciers et poètes. Ces textes seront explorés au cours d’un travail à la fois individuel et collectif sous la forme de lecture polyphonique, lecture-relais, lecture-chorus, ch?ur parlé...
Cette année...
C’est l’Homme aux mille tours, Muse, qu’il faut me dire, Celui qui tant erra quand, de Troade, il eut pillé la ville sainte, Celui qui visita les cités de tant d’hommes et connut leur esprit, Celui qui, sur les mers, passa par tant d’angoisses, en luttant pour survivre et ramener ses gens. Hélas ! même à ce prix, tout son désir ne put sauver son équipage : ils ne durent la mort qu’à leur propre sottise, ces fous qui, du Soleil avaient mangé les b?ufs ; c’est lui, le Fils d’En Haut, qui raya de leur vie la journée du retour. Viens, ? fille de Zeus, nous dire, à nous aussi, quelqu’un de ces exploits.
Cette année, nous traverserons l’Odyssée d’Homère dans la très belle traduction de Victor Bérard, déjà classique et très orale. Une grande place sera accordée aux figures féminines : Pénélope, Athéna, Calypso, Nausicaa, Arété sans oublier pour autant ce cher Ulysse, aimé, conseillé, désiré, écouté et revenu !
REGARD SUR...
- L'ART AU MOULIN 2025
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La ferme des animaux de George Orwell
Cette année, l'Art au Moulin Printemps répond à l'Hiver en mettant à l'honneur deux textes qui résonnent à quelques siècles d'intervalle !
Le discours de la servitude volontaire de ?tienne de La Boétie
Hiver 2024 & Printemps 2025
Dehors, les yeux des animaux allaient du cochon à l’homme et de l’homme au cochon, et de nouveau du cochon à l’homme ; mais déjà il était impossible de distinguer l’un de l’autre.
Les étudiants sont allé à la rencontre de George Orwell à travers La Ferme des animaux ! Sa vigilance et sa lucidité sont à l’origine d’une ?uvre qui démonte des tragédies contemporaines pour les inscrire dans une histoire humaine qui bégaie. Chez Orwell, le nouveau ma?tre de la ferme est un cochon au ? doux ? nom de Napoléon, renvoyant tous les dictateurs à leurs éternels systèmes de domination. L’exercice de la domination serait-il une pente ? naturelle ? et ? la servitude volontaire ? formulée par
